La traduction d’un texte dont l’espace langagier est porteur d’une charge traditionnelle, originaire d’une culture qui ne manifeste aucune transparence avec celle de la langue cible, est une tâche difficile qui demande une attitude attentionnée, une grande patience et de profondes recherches. La nouvelle Le goût âpre du kaki (2002) de la romancière contemporaine Zoya Pirzad en est l’exemple : un texte comprenant des champs sémantiques héritiers de la culture iranienne.
Cet article vise comme objet de recherche, l’étude des problèmes que le traducteur de la nouvelle citée ci-dessus, rencontrerait éventuellement et la proposition d’une stratégie sage, afin de conserver en même temps l’étrangeté du texte original et de produire un texte lisible en langue cible.
alavi, F., & Chavoshian, S. (2009). "Traduction et rencontre de cultures" Les problèmes de la traduction de la nouvelle Le goût âpre du kaki de Zoya Pirzad. Research in Contemporary World Literature, 14(53), -.
MLA
faride alavi; Sharareh Chavoshian. ""Traduction et rencontre de cultures" Les problèmes de la traduction de la nouvelle Le goût âpre du kaki de Zoya Pirzad", Research in Contemporary World Literature, 14, 53, 2009, -.
HARVARD
alavi, F., Chavoshian, S. (2009). '"Traduction et rencontre de cultures" Les problèmes de la traduction de la nouvelle Le goût âpre du kaki de Zoya Pirzad', Research in Contemporary World Literature, 14(53), pp. -.
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alavi, F., Chavoshian, S. "Traduction et rencontre de cultures" Les problèmes de la traduction de la nouvelle Le goût âpre du kaki de Zoya Pirzad. Research in Contemporary World Literature, 2009; 14(53): -.